Jetez un coup d'oeil aux 3 Télécoms canadiennes!
Explorons à nouveau les confins du Programme Pépites afin de maximiser les profits. Le présent Post utilise la même technique que le Post 149, que vous êtes invités à lire.
Tout d’abord le même rappel. Ne jamais laisser des activités, dans le cadre de vos programmes Pépites, interférer avec votre politique de base de placement, laquelle est « votre pain et votre beurre » si je puis dire.
Lors d’une crise, les pépites « pleuvent » et sont abondantes. L’angoisse est l’embarras du choix (et les limites sur emprunt sur marge…).
Présentement en 2024, elles sont rares étant donné la définition d’une Pépite (voir les Posts précédents à ce sujet).
Cependant, il y a des circonstances et/ou des évènements spéciaux qui ouvrent la voie à des occasions similaires aux pépites.
Cette fois-ci, il s’agit des grandes Télécoms au Canada. Vous les connaissez bien, BCE Inc. (BCE), Telus Corp. (T) et Rogers Communications Inc. (RCI.B).
Ce domaine est règlementé par des organismes gouvernementaux dont le Conseil de la radiodiffusion et des télécommunications. Il est également bien suivi par les politiciens, souvent sous la pression des citoyens. Ceux-ci interviennent de différentes façons dont des « invitations » à l’industrie à venir s’expliquer, comme cela est le cas récemment.
Naturellement, les évènements de ce genre se reflètent souvent dans le prix des actions de ces sociétés transigées sur TSX et New-York.
Récemment, pour de multiples raisons relatées dans les médias, les prix ont été sous forte pression. L’analyste MorningStar publiait récemment les rapports de ces compagnies et continue de justifier des Justes Valeurs Marchandes des plus respectables.
Vous êtes invités à les consulter dans le tableau plus bas.
Il y a donc ouverture pour des occasions d’investir, qui, prises collectivement, donnent l’espoir d’un gain d’environ 40% SI le prix des actions se dirigent vers les JVM.
À nouveau, comme dans le cas des banques canadiennes, il est intéressant de diversifier en achetant toute l’industrie, i.e. les trois grands joueurs pour réduire les risques du programme d’achat. On accepte ainsi la moyenne des gains quitte à renoncer au gain de LA gagnante…
Les dividendes sont par ailleurs excellents et aident substantiellement à financer les frais d’intérêts de l’emprunt sur marge dans le cas ou l’investisseur a déjà toutes ses économies investies dans la politique de base de placements.
Le tableau plus bas calcule les conditions au départ en marron, les gains espérés en vert et le progrès en bleu comme dans le cas du Post 149, mais ici, nous sommes au départ du programme et non vers la fin avec les banques.
J’ai utilisé un emprunt d’environ 100,000 CAD pour dépersonnaliser les calculs et faciliter la proportionnalité avec votre situation particulière mais autrement tous les autres chiffres reflètent le point de départ du programme et les données de l'analyste.
Prenez en compte de votre capacité d’emprunt correctement, votre tolérance aux risques. Dans un programme comme celui-ci la banque fournit les sous mais on doit fournir son « tempérament », sa patience et ses suivis réguliers. Les Posts précédents vous aident à réfléchir à ces mises en garde. Il y a deux Tables des matières TMA et TMB que vous pouvez consulter.
Je vous rappelle que je suis un investisseur. Je partage ma stratégie d'investissement et mon expérience dans le but de vous aider à réfléchir et développer votre propre stratégie.
Explorez mon blog avec l’outil de recherche en insérant un mot, des mots, un chiffre dans la zone de recherche de la page d’Accueil. J’ai produit deux tables des matières, TMA et TMB, pour vous aider. Tapez TMA dans la zone de recherche!
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