LES POST 56-57-58-59 SONT RÉSERVÉS POUR DE FUTURS COMMUNICATIONS SUR DES SUJETS D’INTÉRÊT CONCERNANT LES INC. JE VOUS DONNE ICI UN RÉSUMÉ DES COMMUNICATIONS À CE JOUR SUR LES INC.
On s’incorpore, si on est un travailleur autonome, pour profiter des taux d’impôts avantageux et proportionnels d’une société privée sous contrôle canadien (SPCC), une INC. Cette approche est bien supérieure aux taux d’impôts personnels progressifs (en palier).
L’avantage ne se matérialise uniquement que si, en plus, on laisse les économies dans un portefeuille de placements de la INC. le plus longtemps possible (éternellement) plutôt que de sortir les sous en tant que salaire ou dividende immédiatement. Autrement, le principe d’intégration fiscale INC/perso rend l’exercice inutile sinon contreproductif.
On doit bien vivre. On se paie un salaire afin de couvrir ses dépenses perso, l’impôt perso et en plus afin de créer des droits de cotisation à un REER, lequel on peuple de titres américains dont les dividendes et gain en capital sont, autrement, sévèrement taxés dans la INC comme revenus étrangers. Deux autres bénéfices de cette stratégie sont la participation au Régime des rentes du Québec (oui le rendement sur les cotisations n’est pas énorme…) et le soulagement de la INC si un jour les revenus de placements réduit le plafond de $500,000 par année de revenus sujets à la déduction pour petites entreprises.
On reconnait que les revenus de placements sont taxés sévèrement dans une INC et que les différents types de revenus sont taxés différemment, les uns des autres. On en profite pour extraire les dividendes déterminés canadiens des placements de la INC pour les relocaliser vers perso, ce qui se fait sans douleur fiscale. On achète des bons titres d’entreprises pour les placements de la INC dans l’optique de ne jamais les vendre, différant ainsi de l’impôt à plus tard sinon toujours. On considère aussi la participation au CELI, le deuxième paradis fiscal.
Si on doit extraire davantage de liquidités de la INC, on examine les différentes façons de le faire en prenant en compte le tableau présenté plus tôt illustrant les conséquences dans chacune des alternatives.
On s’informe et s’éduque correctement en termes de comptabilité et de fiscalité auprès de son comptable et par soi-même afin d’assumer ses responsabilités fiduciaires d’actionnaire principal. On résume par écrit ses opérations une fois par année, incluant la déclaration des dividendes. On garde les dossiers de la INC en bon ordre, incluant la question de la continuité d'années en années. On garde un oeil sur les changements de fiscalité initiés par les pouvoirs publics afin de planifier sa réponse.
On garde en tête et réfléchit de temps à autre à la stratégie de sa INC car personne d’autres ne le fera pour nous. On explore les possibilités visant à augmenter les revenus, les profits, les économies et le patrimoine cumulé dans la INC. On sait qu’il y a toujours des idées pour s’améliorer. La stratégie est probablement l’activité la plus excitante de la gestion d’une INC.
En matière de fiscalité, si votre situation s’éloigne du cadre des Post du présent Blog, on s’informe. Par exemple, et je vais y revenir après une mise à jour, si vous considérez une dissolution de votre INC ou encore la situation lors du décès, alors cherchez conseil avant de finaliser vos décisions.
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Je vous rappelle que je suis un investisseur. Je partage ma stratégie d'investissement dans le but de vous aider à réfléchir et développer votre propre stratégie.
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